Cinq domaines d’interventions ont été retenus :
- La promotion de l’agriculture durable et protection de l’environnement : Relever de manière significative et durable les revenues agricoles des paysans accompagnés tout en sauvegardant l’environnement forestier ;
- La promotion de la participation citoyenne, de l’efficacité de la gestion, de la non exclusion des groupes, de la responsabilité et de transparence : permettre l’émergence d’une société civile active, engagée, responsable et œuvrant pour la gouvernance locale. La responsabilité (ou redevabilité) implique que les élus et les titulaires de charges publiques et communautaires répondent de leurs actes, activités et décisions et assument les conséquences de leurs éventuelles défaillances. Quant à la non exclusion, cette préoccupation vise à ce qu’aucun groupe ne soit exclu des bénéficies du service public ou communautaire ainsi que des centres de décision. Le thème du genre (en d’autres termes, de l’égalité des chances entre sexes) en est un des aspects les plus mis en exergue.
- La promotion de la santé communautaire : Réduire de manière significative le taux de prévalence du VIH/SIDA et autres maladies endémiques ainsi que la malnutrition ;
- La promotion de la pastorale du développement holistique : Permettre à l’Eglise du Christ au Congo, synode protestant du Bas-Congo de jouer son rôle social et transformateur en développement social local ;
- Promouvoir l’entreprise des jeunes ; les aider à acquérir des aptitudes, des attitudes et des comportements contribuant à les faire accepter par la société. Chaque jeune ‘‘renforcé’’ devient un exemple pour les autres, un cierge qui éclaire en se consumant